Karel
Vereycken
9, rue Hoche
95100 Argenteuil
France
- 0619266938
9, rue Hoche
95100 Argenteuil
France
Né en 1957 à Wilrijk (Anvers) en Belgique, Karel Vereycken est le cadet d’une famille de trois garçons, dont les deux autres se nomment Willem et Jos. Ses parents étaient des employés d’une société de construction et de réparation navales dans le port d’Anvers.
Formation
Dès son jeune âge, ces derniers l’ont mis en contact avec l’univers de l’art. Adolescent, tout en suivant ses Humanités au collège Saint-Michiels de Schoten, il profite des conseils du sculpteur belge Herman Cornelis à l’Ecole communale de dessin de Schoten. Très jeune, il est primé pour un de ses dessins par le Davidsfonds. Ensuite, de 1973 à 1976, il suit des cours d’Arts plastiques à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles où il obtient un baccalauréat artistique.
Avant de s’installer à Paris, il se forme à la gravure à l’Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles où il obtient un certificat de passage « avec distinction ».
En France, il acquiert la nationalité du pays et, à la demande de ses proches, il dispense pendant plusieurs années des cours de dessin. Sollicité par la sculptrice Juliette Choukroun, il accepte de faire partie pendant plusieurs années de la direction d’Arts-sur-Scène, comité en charge de l’organisation annuelle du Salon d’Asnières.
A Paris, il a su confirmer sa maîtrise technique à l’Atelier63 sous la direction de Joëlle Serve et poursuit son travail dans l’atelier de Bo Halbirk.
Historien d’art amateur
Autodidacte, Karel Vereycken n’a cessé d’écrire et de creuser les idées, la vie et l’action des grands artistes dont il tire son inspiration.
Au titre d’historien d’art amateur, il a été sollicité par la Société géographique de Tours ainsi que par le Centre d’études supérieures de la Renaissance (CESR) de la même ville à présenter ses recherches sur la perspective chez Van Eyck et le sens des paysages chez Joachim Patinir.
Il a interviewé l'historien d'art américain Michael Gibson sur l'oeuvre de Pieter Breughel l'ancien et accordé en 2019 un long entretien au Quotidien du Peuple sur l'influence de la peinture chinoise sur l'oeuvre de Léonard de Vinci.
Prix honorifiques :
Depuis 2008 Karel Vereycken se concentre sur l’aquarelle et surtout la gravure sur zinc et sur cuivre (Eau-forte, aquatinte, vernis mou, technique au sucre, tirages couleur, travail à la roulette, burin, etc.).
Pour le peintre-graveur, c’est l’alliance entre l’idée et le sentiment qui fait émerger des formes de beauté qui « parlent » aussi bien à notre cœur qu’à notre esprit.
La nature, mais aussi les symboles, les allégories et les métaphores sont mis à profit. « Chez Karel, derrière chaque œuvre, il y a toujours une histoire » confie le peintre belge Léopold Geysen, son ami depuis toujours.